François Mazabraud semble avoir trouvé la bonne alchimie un travaille personnel mais pas nombriliste au fait du monde qui l'entoure. Une vraie expression contemporaine en somme.
Quelques unes de ses productions sont présentées à la galerie de la rue Jouye-Rouve.
«Zones d’ombre», 2011, bouleau, hêtre, loupe de peuplier, sycomore. Structure modulable.


Cette sculpture est inspirée d’une table de notaire conçue au XVIIIeme siècle, à l’origine de l’expression «les dessous- de-table», munie d’un seul tiroir coulissant qui permettait de faire passer des documents secrètement. Dans cette sculpture, j’ai repris le principe du tiroir traversant en essayant de l’actualiser en un réseau de tables au contours des paradis fiscaux. L'ensemble est modulable et s'adapte au lieu d'exposition. Ci-dessus la sculpture étend son réseau dans tout le sous-sol de la galerie allant jusqu’à contaminer les parties privées (lieu de stokage, cuisine) interdites et dissimulées aux spectateurs. Elle évoque un hypothétique circuit de blanchiment d’argent entre la Suisse, Bélize, le Delaware et le Guatemala
«Border line», 2011, chaussures italiennes en cuir pyrogravées, tailles 39 à 45, cables électriques.
Chaussures gravée de plan mafieux suspendue à la «L.A style» comme pour indiquer les zones de traffics de drogue.



"Calibri", 2011, onze silencieux d’armes filetés au même diamètre, dimension variable.
Une sculture fait de silencieux.


"Waste of secret", 2011, conteneurs à déchets, mécanismes de coffre fort à code digital et empreinte biométrique, 95 x 46 x 37 cm.
Poubelle coffre-fort faisant référence au marché des déchets de Napoli.


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