
Comme certain on pu le remarquer nous sommes très attirés par les formes d'art "global" comprenant non seulement le travail d'un ou plusieurs médias mais aussi son processus de création, sa diffusion ( l'orga des événements, articles, etc...).
Daniel Johnston est un artiste que je qualifierais de "complet" car il réponds à la majorité des critères " de la globalité". (qui relate souvent d'ailleurs plus de l'utopie dès lors que l'artiste ou l'entreprise artistique prend du poids)
Je me permets donc de faire un petit clin d'œil à sa production graphique qui me touche par sa simplicité et son originalité.
Voici une petite synopsis trouvé sur Wikipédia
Vendeur dans un Mc Donald, Daniel Johnston aurait commencé à écrire à l'aube des années 80 des dizaines de chansons pour séduire une fille qui finit par épouser un croque-mort. La chanson My baby cares for the dead évoquerait cette mésaventure. Quoi qu'il en soit, cela est représentatif de sa musique et de sa vie, qui après tout sont chez lui presque indissociables. La lo-fi a parfois été décrite comme la version musicale de l'art brut, et c'est particulièrement vrai avec Daniel Johnston, à l'instar d'autres musiciens à fleur de peau tels que Syd Barrett ou Roky Erickson, auquel il rendra d'ailleurs hommage avec la complicité de Jad Fair (du groupe Half Japanese) sur la chanson I met Roky Erickson.
Kurt Cobain, Sonic Youth, Butthole Surfers, Yo La Tengo, Tom Waits, sont quelques-uns de ses fans. Il est également un grand dessinateur, dans un style à mi-chemin de la bande-dessinée et des dessins d'enfants.

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